Skip to main content

Rencontres des Cinémas d’Europe 21e édition

La programmation s’articule autour de plusieurs axes : un focus (pour 2019 ce sera « L’illusion identitaire »), des hommages à des réalisateurs, le Panorama des films européens de l’année (plus de 70 films) avec de nombreux invités, une sélection de films de patrimoine (Voir et Revoir), un ciné-concert… Elle se déroulera du 16 au 24 novembre 2019.

Nous vous invitons aussi à découvrir ce que nous faisons autour des Rencontres car ce festival ce n’est pas que des films !

Surtout, nous espérons que le bistrot des rencontres, la librairie et les salles de cinémas vous offriront des moments pour échanger, découvrir et débattre ensemble autour de ce formidable « accélérateur de particules émotionnelles » que peut être le cinéma quand il est partagé.


Le programme complet  Télécharger
La grille horaire des films  Voir

PROGRAMMATION 2019

Les invités de la 21e édition des Rencontres des Cinémas d’Europe

Irmeli
Debarle

Sébastien
Betbeder

Charlie
Van Damme

Damien
Monnier

Olivier
Meys

Jessica
Palud

Jean-Pierre
Thorn

Jean Michel
Bertrand

Antoine
Picard

Marie-Hélène
Lafon

Andreas Horvath

Patrycja Planik

Rebekah Fortune

Denis Vlasenko

Tim Mendler

Jean-François Bayart

Simona Taliani

Roberto Beneduce

Rencontres et débats : avec la complicité de…

GUILLEMETTE ODICINO
Journaliste et critique cinéma à Télérama, productrice de l’émission estivale “On s’fait des films” sur France Inter, chroniqueuse dans “Grand bien vous fasse” sur France Inter et intervenante au “Cercle” sur Canal + Cinéma.

SERGE LE PÉRON
Critique aux Cahiers du Cinéma dans les années 70-80, il réalise son premier long-métrage, Laisse béton, en 1984, qui sera suivi de L’affaire Marcorelle en 2000 et de J’ai vu tuer Ben Barka en 2005. Il tourne aujourd’hui des documentaires et participe à l’écriture de nombreux films (dont récemment L’astragale).

Panorama des films européens 2019

5 et le numéro parfait

Adults in the Room

Alice T

Aquarela

Benni

Bunuel après l’âge d’or

Contre ton cœur

Debout sur la montagne

Dieu existe son nom est Petrunya

Dirty God

Et puis nous danserons

Etre vivant et le savoir

Factory

Bitter flowers  (Fleurs amères)

Gloria Mundi

Her job

In my room

J’accuse

J’ai perdu mon corps

Jeanne

Just Charlie

L’âcre parfum des immortelles

L’affaire Pasolini

L’époque

L’extraordinaire voyage de Marona

L’heure de la sortie

L’insensible

L’oeuvre sans auteur – partie 1

L’oeuvre sans auteur – partie 2

L’Ospite

La belle époque

La communion

Le daim

Le silence des autres

Le traître

Le vent de la liberté

Les éblouis

Les misérables

Les siffleurs

Lillian

Little Joe

Marche avec les loups

Martin Eden

Mjolk la guerre du lait

Nos défaites

Oleg

Paysage ordinaire

Perdrix

Proxima

Revenir

Roads

Rosie Davis

Sorry we missed you

Une grande fille

Viendra le feu

Vif argent

Vita et Virgina

Yves

Camille

FOCUS 2019 > L’ILLUSION IDENTITAIRE

L’illusion identitaire

Cette année les Rencontres des Cinémas d’Europe vous invitent à aborder les questions d’identité, en prolongement au Focus de l’an dernier consacré aux migrations. Jean-François Leguil-Bayart a pensé le déroulé de cette thématique, en compagnie de Simona Taliani, de Roberto Beneduce et du duo Melkem pour la partie musicale. Le thème des migrations continuera toutefois à être abordé avec nos partenaires du Réseau Traces et la revue Écarts d’identités.


Conférence concert

Remue-méninges : « Nuire à la bêtise identitaire »
Par Jean-François Bayart, accompagné du duo Melkem
Vendredi 22 novembre, 17h, Bistrot des Rencontres

La thématique de l’identité s’est imposée dans le débat public. Il en résulte une sourde angoisse : le marché, la globalisation, l’immigration menaceraient notre identité, notre culture. Or, l’une et l’autre sont des « illusions ». Il n’est que des actes d’identification, politiquement construits, historiquement situés, socialement contradictoires, culturellement polémiques. Les conflits dits identitaires déchirent les cultures, plutôt qu’ils ne les opposent les unes aux autres. La culture n’a jamais rien expliqué. Elle est un effet, et non la cause. Certes, toute action comporte une dimension culturelle. Mais, paradoxalement, les notions d’identité ou de culture nous empêchent de la comprendre. Comment penser les raisons culturelles du politique sans être ni culturaliste ni identitariste ?

Intervenant :

Jean-François Bayart, spécialiste de sociologie historique du politique à l’IHEID de Genève, a notamment publié, en 1996, L’Illusion identitaire (réédition en poche « Pluriel » en 2018).

Le Duo Melkem : Gilles Andrieux & Lise Gerbi

Gilles Andrieux a fait, très jeune, la rencontre de la musique turque à l’occasion d’un voyage dont au fond il n’est jamais revenu, pour pénétrer les arcanes du répertoire classique ottoman sous la direction de maîtres de la musique soufi. Gilles Andrieux fait-il pour autant de la musique turque ? Il serait réducteur de le cantonner à cette simple démarche d’interprétation ou à une forme de world music. La question n’est pas de savoir si, turque, sa musique l’est ou ne l’est pas. Elle est tout simplement musique, et chacun s’y retrouvera.
De père séfarade et mère ashkénaze, Lise Gerbi est attirée par les musiques orientales et c’est naturellement qu’elle explore le répertoire des musiques juives. Titulaire d’un DUMI et d’un DE de formation musicale, elle partage son temps entre l’enseignement de la musique et son développement musical personnel.
En 2009 elle forme le duo Melkem avec Gilles Andrieux. Amis depuis de nombreuses années, ils chantent et arrangent les chansons de Gilles. Entre Orient et Occident, ils créent un univers singulier par leurs timbres de voix complémentaires et le mélange atypique de leurs instruments. Les chansons de Gilles sont comme des tableaux. Ensemble ils chantent l’amour, la mélancolie, le temps qui passe. Avec simplicité́ et complicité́.


Table ronde « L’identité comme narration : quand les migrants s’écrivent »

Par Simona Taliani et Roberto Beneduce.
Modérateur : Jean-François Bayart
Samedi 23 novembre, 17h, Bistrot des Rencontres

Ce que nous appelons l’identité est toujours une narration. Nous nous racontons aux autres, les autres nous racontent, et parfois nous en faisons « tout un cinéma ». Les migrants sont de grands conteurs. Ils racontent à leur famille, à leur milieu d’origine la société dans laquelle ils vivent désormais, les épreuves par lesquelles ils sont passés. Avant de partir, ils se sont racontés des histoires. Et aussi ils doivent mettre en récit leur vie passée et leurs projets pour répondre aux attentes des administrations de l’immigration ou du droit d’asile. Au risque de leur « identité ».

Roberto Beneduce, médecin psychiatre et anthropologue, et Simona Taliani, psychanalyste et anthropologue, enseignent à l’Université de Turin. Ils dirigent le Centre Frantz Fanon qui accompagne les migrants et les réfugiés en détresse psychique.

Cette table ronde sera suivie d’un concert du duo Melkem.


Au-delà des murs

Une exposition photographique d’Alberto Campi – We Report
Vernissage en présence de l’artiste le 16 novembre
Du 16 au 24 novembre, Librairie des Rencontres

En 2012, Alberto CAMPI, photographe et photojournaliste basé à Grenoble, membre du collectif de journalistes indépendants We Report, décide de témoigner du mur qui s’érige aux portes de l’Europe pour arrêter les flux migratoires entre la Grèce et la Turquie. Avec cette intention, accompagné de la géographe Cristina Del Biaggio, ils partent en Grèce, dans la région d’Evros, là où le mur a été́ construit. C’est la première étape d’un voyage de deux mois (juin 2012 – août 2012) qui les a amenés également à Istanbul, Athènes et Patras.

Cette exposition est présentée en collaboration avec la Maison de l’Image de Grenoble qui organise en novembre 2019 le Mois de la Photo autour de la thématique “Murs et frontières” – https://www.maison-image.fr


« Images Migrantes »

Carte blanche au réseau Traces – Histoire, Mémoires et Actualités des migrations en région Auvergne-Rhône-Alpes
Salle 4 du cinéma Le Palace, 11h-17h (horaire à confirmer)

Cette carte blanche fait écho au programme « Images Migrantes, rencontres cinéma et migrations » organisé du 25 au 29 septembre 2019 à Lyon.
Les migrations – sujet majeur de notre temps que ne cesse d’interroger le réseau Traces –sont au cœur des débats politiques, localement et internationalement. À ces débats sont souvent associées des images tragiques et des imaginaires en confrontations.
Le cinéma, et plus largement les images diffusées sur une multitude de supports racontent la métamorphose du monde : sa “mondialisation” descendante mais aussi sa “mondialité́” ascendante. Depuis ses origines, le cinéma a toujours été́ tourné vers l’altérité́, et les migrations ont rapidement été́ inscrites dans ses récits. Il est incontestable que les migrations sont l’objet d’une production d’images de plus en plus pléthorique, depuis les images tournées avec des smartphones et aussitôt diffusées sur les réseaux sociaux jusqu’aux plus grosses productions cinématographiques. Il est de fait intéressant de constater et d’analyser comment, dans le même temps, ces images, véhicules de représentations diverses, bougent.

« Regards croisés sur les migrations », programme de 6 courts-métrages
Carte blanche au Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand. Très sensible à cette thématique, l’équipe du festival de Clermont-Ferrand propose au réseau Traces et aux Rencontres des Cinémas d’Europe une sélection de films qui sont autant de regards différents sur les migrations.
Mais aussi 2 films : Les sauteurs et Déplacer les montagnes

Ces séances seront précédés d’une présentation et de débats en salle par des membres du réseau Traces, dont :
Philippe Hanus, historien, coordinateur de l’ethnopôle « migrations, frontières, mémoires » au Centre du Patrimoine Arménien de Valence ;
Sébastien Escande, coordinateur du Réseau TRACES, Histoire, mémoires et actualités des migrations en Auvergne-Rhône-Alpes.


Écarts d’identité

Présentation et discussions autour de la revue « Écarts d’identité »
Par Abdellatif Chaouite, rédacteur en chef & Président du réseau Traces
Vendredi 22 novembre, 18h30, Librairie des Rencontres

Le prochain numéro de la revue Écarts d’identités se fera l’écho des rencontres du réseau Traces et du Focus des Rencontres des Cinémas d’Europe, dans un dossier consacré aux « Images migrantes ». Nous vous invitons à venir échanger avec Abdellatif Chaouite et les membres du réseau Traces autour des enjeux des migrations contemporaines.
Écarts d’identités est réalisé par les associations ADATE, ISM Corum, la Maison des Passages et le réseau Traces.


Les films :

Murs de papiers

Les sauteurs

Déplacer des montagnes

L’époque

Just Charlie

Nos défaites

Oleg

Programme courts Clermont

Voir & revoir

Agnès Varda, de son vrai nom Arlette Varda, est née le 30 mai 1928 à Ixelles (Belgique) d’un père grec et d’une mère française. Elle grandit à Sète où sa famille s’est réfugiée en 1940 puis part à Paris pour y étudier la photographie.

En 1949, elle accompagne le metteur en scène Jean Vilar et se fait connaître en photographiant la troupe du Théâtre National Populaire dont elle devient la photographe officielle.

Elle tourne son premier film en 1954 : « La Pointe courte », avec deux comédiens du TNP, Philippe Noiret et Silvia Monfort.
En 1961, elle réalise « Cléo de 5 à 7 » qui remporte un vrai succès et scelle son destin de cinéaste. Dans les années 70, elle part à plusieurs reprises à Los Angeles et y tourne deux documentaires. Agnès Varda est une cinéaste éclectique qui aime mélanger les genres documentaires et fictions , les formats longs-métrages et courts-métrages.

Elle remporte en 1985 le Lion d’or à Venise pour son film « Sans toit ni loi ».

A la mort de son époux Jacques Demy en 1990, elle tourne un film hommage « Jacquot de Nantes ». Puis en 2000, la cinéaste renoue avec le succès du public grâce à un documentaire « Les Glaneurs et la Glaneuse ». Depuis 2006 Agnès Varda se lance aussi dans activité d’artiste visuelle en proposant des installations dans différentes expositions d’art contemporain.

En 2008, elle sort en guise d’autoportrait le long-métrage « Les Plages d’Agnès » qui reçoit le César du meilleur film documentaire. Au Festival de Cannes de 2015, la Palme d’honneur lui est décernée. Et fin 2017, elle reçoit un Oscar d’honneur. Elle est la première femme (réalisatrice) de l’histoire du cinéma mondial à accéder à une telle reconnaissance.

Elle décède le 29 mars 2019.


LA POINTE COURTE

France
De Agnès Varda. 1954. 1h30. Avec Silvia Monfort, Philippe Noiret.
À Sète, dans le quartier qui borde l’étang de Thau et que l’on appelle La Pointe Courte, un homme revient pour les vacances sur les lieux de son enfance. Il espère faire partager à sa jeune épouse son amour pour ces paysages. Le couple, que mine l’incompréhension, ne s’intéresse guère à l’existence et aux problèmes des habitants du quartier.


L’UNE CHANTE, L’AUTRE PAS

France
De Agnès Varda. 1976. 2h. Avec Valérie Mairesse, Thérèse Liotard.
L’Une chante, l’autre pas est un film musical féministe. Deux jeunes filles vivent à Paris en 1962. Pauline (17 ans), étudiante, rêve de quitter sa famille pour devenir chanteuse. Suzanne (22 ans) s’occupe de ses deux enfants et fait face aux drames du suicide de leur père. La vie les sépare ; chacune vit son combat de femme. Pauline est devenue chanteuse dans un groupe militant et itinérant après avoir vécu une union difficile en Iran. Suzanne est sortie de sa misère et travaille au Planning familial. Dix ans plus tard, elles se retrouvent au cours d’une manifestation féministe. À la fin de cette chronique, on les retrouve ensemble, à nouveau, avec leurs enfants qui ont grandi.


CLÉO DE 5 à 7

France
De Agnès Varda. 1961. 1h30. Avec Corinne Marchand, Antoine Bourseiller, Dominique Davray.
Cléo, belle et chanteuse, attend les résultats d’une analyse médicale. De la superstition à la peur, de la rue de Rivoli au Café du Dôme, de la coquetterie à l’angoisse, de chez elle au Parc Montsouris, Cléo fait des rencontres qui lui ouvrent les yeux sur le monde.


VARDA PAR AGNÈS

France
De Agnès Varda. 2019. 1h54.
Peut-on raconter le cinéma d’Agnès Varda, figure du cinéma français ex Nouvelle vague ? On diffuse ses nombreux entretiens. On vient écouter ses causeries, (à l’étranger ses Talks). Dans ce documentaire-ci, on la voit parler de ses 3 vies : photographe cinéaste et artiste. Agnès est une bonne conteuse et les explications théoriques qu’elle donne de sa « cinécriture » sont accompagnées d’extraits de ses films et de propos spontanés. Elle propose une lecture enrichie de ses références et de ses expériences. On la découvre souvent là où on ne l’attendait pas.

Les films jeune public

Zébulon le Dragon

Minuscule

Le voyage dans la lune

L’extraordinaire voyage de Marona

Le cercle des petits philosophes

La fameuse invasion des ours en Sicile

Le voyage du Prince

Public « jeune » (ado)

Le vent de la liberté

Marche avec les loups

Ma folle semaine avec Tess

Rencontres des Cinémas d’Europe – 21e édition

CINE – CONCERT

JEUDI 21 NOVEMBRE > 20H30 > THÉÂTRE DES QUINCONCES VALS LES BAINS
durée : 1H15

EN PLEIN DANS L’OEIL

D’APRES L’ŒUVRE CINÉMATOGRAPHIQUE DE GEORGES MELIES
Une Création de Jean-François Alcoléa

Si l’imaginaire devait s’incarner, il ne serait pas surprenant qu’il prenne la forme de Georges Méliès !
Considéré par les frères Lumière comme l’inventeur du septième art, il est l’homme de tous les superlatifs. Personnalité inventive, emblématique, pionnier et amuseur génial.
Puisant dans l’univers fantastique de films comme « Le voyage à travers l’impossible » ou dans l’univers burlesque de courts comme « Un homme de têtes », En plein dans l’œil propose une lecture actuelle, poétique et ludique de l’œuvre de Georges Méliès. Chaque film fait l’objet d’une composition musicale originale. Un spectacle ingénieux, poétique et merveilleux !


L’INSTRUMENTARIUM

aquaphone / boite à musique / cadre de piano / caisse claire et cymbales / caisse en bois faisant office de grosse caisse et de marimba / casseroles / chambre à air / chime / cloches et grelots / cuillères / claviers avec sons de piano, vibraphone, marimba ou glass harmonica / glockenspiel / couvercle de lessiveuse / flûtes à coulisse / gaine électrique / guitare / mélodica / petites percussions / sanzas / set de lames de scies circulaires et autres tubes métalliques / scie musicale / sifflets / thérémine / tom basse / triangles / verres en cristal


LES FILMS

Introduction (documentaire réalisé à partir d’archives ) / Le cauchemar / Un homme de têtes / Voyage à travers l’impossible / La visite sous-marine du Maine / Le voyage de Gulliver à Lilliput et chez les Géants / Panorama pris d’un train en marche / Les nouvelles luttes extravagantes / Le merveilleux éventail vivant / L’équilibre impossible / Le royaume des fées / Nain et géant


MUSIQUE

Conception, compositions musicales et création sonore, clavier, cadre de piano, objets : Jean François Alcoléa
Percussions, guitare : Fabrice Favriou ou Hervé Joubert
Son, percussions, objets : Stéphane Brunet ou Guillaume Habrias
Régie lumière et vidéo : Noémie Mancia ou Eric Seldubuisson

www.alcolea-cie.net


En plein dans l’œil est une production Pasoa / Alcoléa & cie, en collaboration avec Lobster Films, Nuances Pianos et Jazz à Poitiers. Avec le soutien de la Région Nouvelle-Aquitaine, de Poitou-Charentes Cinéma / Pôle de l’Education à l’Image, du Département de la Vienne, de la Ville de Poitiers, la SPEDIDAM et l’ADAMI.


HORS TARIFS RENCONTRES :
Plein tarif : 15€
Tarif réduit : 13 €
Tarif abonnement : 13 €
Tarif abonnement adhérent : 13€
Tarif -15 ans : 13 €
Zone 2 : 10 €
Zone 3 : 10 €

Réservation : Centre culturel des Quinconces